• "Pourquoi être normal alors qu'on peut être différent?"

    Une nouvelle citation de moi ;3

    J'espère qu'elle vous plait ^^

    Nanou


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  • Coucou! Voici comme promis le premier chapitre de ma fiction (et le prologue) ^^

    Prologue:

    J'essaye d'ouvrir les yeux, mais j'ai trop peur pour le faire alors je me concentre sur ce que j'entend, des cris, des cris déchirants et d'autres étouffés. J'arrive enfin à ouvrir les  yeux .  Ils sont en face de moi, ils me regardent l'air décontenancé,puis un grand éclair blanc et plus rien.

    Chapitre 1:

    Je m'appelle Lyla, j'ai 15 ans, j'ai une vie....comment dire...parfaite. J'ai des parents formidables, des amis géniaux et un petit-ami extraordinaire. Je regarde la photo posée sur ma table de chevet, une photo de mes meilleurs amis et moi.

    A droite il y a Cassandre ma meilleure amie, une grande blonde aux yeux marrons clairs,une fille superbe autant dans son physique que dans sa personnalité. A côté Coop mon meilleur ami, il est brun avec les yeux verts et c'est le garçon le plus gentil que je connaisse après mon petit-ami (qui se trouve juste à côté), Easton que tout le monde appelle East'. Je ne suis rien sans lui,on passe quasiment tout notre temps libre ensemble,il est brun aux yeux bleus. Bien evidemment  je me trouve près de lui,je suis châtain et j'ai les yeux gris-bleus. Et enfin Eleanor qu'on appelle Ele', elle est blonde et ses yeux sont bleus, elle est de nature super amicale et douce c'est d'ailleurs pour ça que tout le monde l'aime.

    J'adore cette photo,elle a été prise avant les vacances, ça fait maintenant presque 1 mois que je n'ai pas vu mes amis et se soir va être l'occasion de rattraper tout ça, Ele' organise une fête dans sa maison de vacance. Je regarde le réveil, merde,17h00! Il faut que je me prépare!

    << Lyla!! Eston est là!!! cria ma mère

    -Déjà?! J'arrive!>>

    Bon voilà le plus gros défi d'une fille: s'habiller,se coiffer et se maquiller en 3 minutes chrono! J'enfile une robe bustier  bleu évasé, je me fait un chignon à la va vite et je met  du crayon et du mascara. Hop! Trop forte! 

    <<-East'! 

    -Salut ma belle! Je me trompe ou tu n'étais pas prête? dit-il avec un petit sourire en coin

    -Pourquoi tu me pose la question? Je suis sûre que tu connais déjà la réponse!

    -Ha ha oui je la connais! Allez on y va mon père nous attend dans la voiture 

    -J'y vais Maman à plus! dis-je en claquant la porte derrière nous>>

    La soirée passa à une vitesse folle, entre bavardage,film et rires. Quand fut venu le moment de repartir le lendemain matin Cassandre refusa de me lâcher.

    << On s'appelle et on s'envoit des messages?! Dit Cassandre en me lâchant enfin

    -Bien sûr quelle question!! On va tous s'envoyer des messages! répondis-je en désignant notre petit groupe>>

    ******

    Cela faisait déjà 2 semaines que la fête avait eu lieu mais j'avais l'impression que cela faisait des mois étant donné que je n'avais reçu aucune nouvelle d'aucun de mes amis. J'avais appelé Easton plusieurs fois et laissé des messages aux autres mais je n'avais eu aucune réponses et je commencais à m'inquièter, ce n'était pas dans leurs habitudes de ne donner aucune nouvelle. 

    << Maman je peut aller chez Cassandre, je commence à m'inquiéter, elle ne répond pas à mes appels,ni à mes messages. Personne ne répond d'ailleurs...

    -Non je ne peux pas t'emmener

    -Mais maman...

    -Il n'y a pas de "mais"! Tes amis ne peuvent être toujours collés à leur clavier! Ils ont sûrement autre chose à faire que de te parler! Maintenant retourne dans ta chambre vas t'occuper!>>

    j'en restais bouche bée, ma mère ne m'avais jamais parlé comme ça, bien sûr elle m'avais déjà engueuler mais le ton qu'elle avait pris était vraiment bizarre. Elle regarda mon père, ils se regardaient comme si ils savaient quelque chose que moi j'ignorais.

    Quelques heures plus tard mes parents sortirent et à ma plus grande surprise ils m'interdirent de sortir de chez moi.

    Ça devenait vraiment bizarre d'abord mes meilleurs amis et mon copains ne donnent pas de nouvelles pendant 2 semaines, puis ma mère me parle d'une façon très bizarre et pour couronner le tout mes parents m'empêche de sortir de chez moi alors qu'ils ne l'avaient jamais fait. C'était sûr ils me cachaient quelque chose....


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  •    « Oui, oui ! J’arrive ! hurlai-je en descendant les escaliers, à toute vitesse, pour faire taire cette maudite sonnette.

     - Ha bah quand même ! Cela fait une heure que je sonne ! » se plaignit le porc qui nous servait de voisin.

    J’avais trop envie de lui cracher à la figure : « Non ça fait à peine deux minutes ! », mais je me retins. A la place, je lui décochais un regard noir, une habitude avec lui. C’était l’un des types les plus détestables du quartier. Large tête, énorme nez que je qualifierais de patate, oreilles décollées, petits yeux semblables à ceux d’un cochon, teint rosâtre, cheveux blancs sales (on pouvait dire que la Nature l’avait gâté), il était âgé d’à peu près soixante-dix ans et encore … Je suis cool ! Pour ce qui était de son corps, difficile de faire pire ! Une énorme bedaine, composée d’au moins dix bourrelets, des bras gonflés comme des bouées et pour ce qui était des jambes, n’en parlions même pas ! Et puis son look … Je savais qu’il était vieux mais quand même ! Vieux jean couleur caca d’oie, chemisier vert pomme taché dix fois trop petit pour son ventre proéminent, godasses trouées datant de la Préhistoire … Des fois, je me demandais comment il pouvait se montrer au grand jour ! Enfin bref, toujours était-il qu’il ouvrit une fois de plus sa grande gueule libérant une haleine puante :

        « Votre chat a encore chié sur mes géraniums ! »

    Ben tiens ! En plus d’être ignoble, bête, sale, alcoolique, hideux, égoïste, puant, autoritaire, il était vulgaire ! De plus, son reproche était des plus aberrants :

    1.      J’avais analysé son jardin de fond en comble, du haut de mon escalier pour dépasser la haie touffue qui séparait nos deux terrains. Et parmi les mauvaises herbes et les champignons, souverains de son jardin, aucune trace de géraniums. Ou même de fleurs.

    2.      Il passait toutes ses journées chez lui, enfermé tel un ermite. Et les rares fois où il sortait, c’était pour créer des ennuis ou attiser la haine de ses ennemis ; dont nous faisions apparemment partie. Il ne se serait donc pas aperçu qu’un chat avait déposé ses excréments dans son jardin vu qu’il ne s’en occupait jamais.

    3.      Nous ne possédions pas de chat et il le savait.

    Conclusion : il se foutait complètement de nous, pour changer.

    C’était la cinquième fois en deux semaines qu’il nous le reprochait. « Déjà l’Alzheimer … » pensai-je. Je ne voulais pas rentrer dans son jeu et lui répéter pour la millième fois que nous n’avions pas de chat. Aussi, j’appelais ma mère pour qu’elle aille régler avec ce cher monsieur le malentendu.

    Elle arriva assez vite, perché sur ses hauts talons. Elle communiqua avec le porc dans la même langue que lui, c’est-à-dire en l’insultant :

        « Vieux porc !

         - Sale péquenaude !

    Comme toujours, ça commençait doucement puis ça s’empirait :

        - Connard !

        - Salope ! » riposta le vieux.

    Je décidai alors de remonter dans ma chambre voyant que cette charmante discussion ne pourrait pas plus enrichir mon vocabulaire.

        Je mis mon casque MP3 sur les oreilles et allumai mon ordi. Une fois allumé, j’ouvris ma page Facebook : dix notifications. Sans les lire, je devinai que j’aurai encore des demandes d’amis de gens que je ne connaîtrai même pas, des discussions sur mes articles et pour finir, des mecs qui me demanderaient de regarder leurs dernières photos où ils se la joueraient beaux gosses … Tellement prévisible ! Mais mon ordinateur avait décidé de me contredire. J’ouvris tous mes messages. Un en particulier, avait retenu mon attention.C’était de Luce, ma meilleure amie que je connaissais depuis toujours. Il disait : « Hey Alice ! J Demain c’est les soldes !!! Ça te dit de sécher les cours et qu’on se rejoigne dans le parc en face du lycée pour aller en ville ? Il y aura aussi Jérémy, Axel, Léo et Lina. Ça va être trop génial ! En plus il va faire beau ! Dis OUI ! <3<3<3 ».

        Je souris en lisant son message. Elle me suppliait de dire oui alors qu’elle savait pertinemment que je ne refuserai jamais une telle offre ! Je lui répondis : « Oki pas de problème ! J J’ai hâte d’y être ! <3<3<3 ».

        Cela m’arrangeait bien de sécher demain car on louperait  EPS et le contrôle d’économie, deux matières chiantes à souhait. En plus je n’avais pas du tout révisé pour le devoir et je ne voulais pas ramener une note catastrophique, une fois de plus.

        Je sortis de ma tirelire cinquante euros, de quoi m’acheter un menu de chez Mc Donald pour le midi et les vêtements que j’aurais trouvés. Soudain, on toqua à ma porte. Surprise, j’eus tout juste le temps de planquer mon argent dans mon sac Longchamp avant que ma mère me prenne la main dans le sac. (C’était le cas de le dire !) Ma mère passa sa tête dans l’entrebâillement de la porte. Elle était grande et comme si sa hauteur ne lui suffisait pas, elle portait en permanence des talons. Plutôt fine, ma mère était toujours bien habillée, quelque soit les circonstances. Elle changeait régulièrement de coupe de cheveux et en ce moment elle les avait très longs (ils lui arrivaient au milieu du dos), ondulés et noirs. (Je vous rassure sa couleur ne changeait pas). Elle était très belle, gracieuse, élégante … Elle travaillait comme secrétaire dans une grosse entreprise et revenait souvent stressée à cause de sa journée de travail.

        Elle fronça les sourcils en voyant ma chambre rangée … Enfin que pour moi apparemment.

        « Alice ! Il faut vraiment que tu ranges ta chambre, là, ça devient urgent ! On dirait l’océan des immondices ! ordonna ma mère.

        - Oui, oui … répondis-je comme tous les ados qui tentent de convaincre leurs parents pour qu’ils les laissent tranquilles.

        - Oui, oui … Oui, oui … Tu dis toujours ça mais tu ne le fais jamais ! s’emporta ma mère, le dîner est prêt dans une heure et tu as intérêt à t’être douchée d’ici là !

        - Oui, oui … » ne pus-je m’empêcher de répondre, ce qui eut le don de l’énerver encore plus.

    Après une bonne douche bien chaude et des spaghettis carbonara délicieuses (ma mère cuisinait divinement bien), j’étais de retour dans mon sanctuaire sacré. Je m’installai dans mon lit avec mon ordi pour regarder « Noisy Echo », ma série favorite et m’endormis avant même de finir l’épisode.

        « Flash spécial : une voiture a été … ». Comme tous les matins, je ne laissai pas mon réveil finir son discours. Je me levai, m’habillai, me coiffai, un petit coup de crayon par ici, une petit coup de mascara par là, un peu de fond de teint et pour finir, je prenai mon petit déjeuner. Je fis mon sac et me regardai dans le miroir.

    J’étais assez petite de taille et fine. Mes cheveux étaient de couleur noisette (châtains clairs), assez longs (mais beaucoup moins que ceux de ma mère), d’abord lisses, ils ondulaient vers les pointes. J’avais une mèche que j’adorais rejeter en arrière quand je réfléchissais (mais qui revenait sans cesse).

         Mon visage ? J’avais les yeux marron foncés avec de grands cils, des petites taches de rousseur parsemaient mon nez et un peu mes joues. En 6ème, j’avais eu un appareil dentaire et, ayant bien suivi les ordres de mon orthodontiste, je possédais à présent de belles dents. On me rangeait dans les plus belles filles de ma classe ou même du lycée mais je ne me trouvais pas si magnifique que ça.


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  • CAMBROUSSE ACADÉMIE 2

        Je mis mon casque MP3 sur les oreilles et allumai mon ordi. Une fois allumé, j’ouvris ma page Facebook : dix notifications. Sans les lire, je devinai que j’aurai encore des demandes d’amis de gens que je ne connaîtrai même pas, des discussions sur mes articles et pour finir, des mecs qui me demanderaient de regarder leurs dernières photos où ils se la joueraient beaux gosses … Tellement prévisible ! Mais mon ordinateur avait décidé de me contredire. J’ouvris tous mes messages. Un en particulier, avait retenu mon attention.C’était de Luce, ma meilleure amie que je connaissais depuis toujours. Il disait : « Hey Alice ! J Demain c’est les soldes !!! Ça te dit de sécher les cours et qu’on se rejoigne dans le parc en face du lycée pour aller en ville ? Il y aura aussi Jérémy, Axel, Léo et Lina. Ça va être trop génial ! En plus il va faire beau ! Dis OUI ! <3<3<3 ».

        Je souris en lisant son message. Elle me suppliait de dire oui alors qu’elle savait pertinemment que je ne refuserai jamais une telle offre ! Je lui répondis : « Oki pas de problème ! J J’ai hâte d’y être ! <3<3<3 ».

        Cela m’arrangeait bien de sécher demain car on louperait  EPS et le contrôle d’économie, deux matières chiantes à souhait. En plus je n’avais pas du tout révisé pour le devoir et je ne voulais pas ramener une note catastrophique, une fois de plus.

        Je sortis de ma tirelire cinquante euros, de quoi m’acheter un menu de chez Mc Donald pour le midi et les vêtements que j’aurais trouvés. Soudain, on toqua à ma porte. Surprise, j’eus tout juste le temps de planquer mon argent dans mon sac Longchamp avant que ma mère me prenne la main dans le sac. (C’était le cas de le dire !) Ma mère passa sa tête dans l’entrebâillement de la porte. Elle était grande et comme si sa hauteur ne lui suffisait pas, elle portait en permanence des talons. Plutôt fine, ma mère était toujours bien habillée, quelque soit les circonstances. Elle changeait régulièrement de coupe de cheveux et en ce moment elle les avait très longs (ils lui arrivaient au milieu du dos), ondulés et noirs. (Je vous rassure sa couleur ne changeait pas). Elle était très belle, gracieuse, élégante … Elle travaillait comme secrétaire dans une grosse entreprise et revenait souvent stressée à cause de sa journée de travail.

        Elle fronça les sourcils en voyant ma chambre rangée … Enfin que pour moi apparemment.

        « Alice ! Il faut vraiment que tu ranges ta chambre, là, ça devient urgent ! On dirait l’océan des immondices ! ordonna ma mère.

        - Oui, oui … répondis-je comme tous les ados qui tentent de convaincre leurs parents pour qu’ils les laissent tranquilles.

        - Oui, oui … Oui, oui … Tu dis toujours ça mais tu ne le fais jamais ! s’emporta ma mère, le dîner est prêt dans une heure et tu as intérêt à t’être douchée d’ici là !

        - Oui, oui … » ne pus-je m’empêcher de répondre, ce qui eut le don de l’énerver encore plus.

    Après une bonne douche bien chaude et des spaghettis carbonara délicieuses (ma mère cuisinait divinement bien), j’étais de retour dans mon sanctuaire sacré. Je m’installai dans mon lit avec mon ordi pour regarder « Noisy Echo », ma série favorite et m’endormis avant même de finir l’épisode.

        « Flash spécial : une voiture a été … ». Comme tous les matins, je ne laissai pas mon réveil finir son discours. Je me levai, m’habillai, me coiffai, un petit coup de crayon par ici, une petit coup de mascara par là, un peu de fond de teint et pour finir, je prenai mon petit déjeuner. Je fis mon sac et me regardai dans le miroir.

    J’étais assez petite de taille et fine. Mes cheveux étaient de couleur noisette (châtains clairs), assez longs (mais beaucoup moins que ceux de ma mère), d’abord lisses, ils ondulaient vers les pointes. J’avais une mèche que j’adorais rejeter en arrière quand je réfléchissais (mais qui revenait sans cesse).

         Mon visage ? J’avais les yeux marron foncés avec de grands cils, des petites taches de rousseur parsemaient mon nez et un peu mes joues. En 6ème, j’avais eu un appareil dentaire et, ayant bien suivi les ordres de mon orthodontiste, je possédais à présent de belles dents. On me rangeait dans les plus belles filles de ma classe ou même du lycée mais je ne me trouvais pas si magnifique que ça.


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  • Éva, 15 ans, n'a plus la force de vivre. Rejetée par tous les élèves de sa classe qui la persécutent à cause de son physique ingrat, elle décide d'y mettre un terme et choisit une solution facile mais radicale : le suicide.

    Elle se réveille dans une pièce blanche avec pour compagnie un beau garçon brun aux yeux rouges feu, pensant être arrivée au Paradis. Le beau garçon du nom de Shawn va lui apprendre qu'il l'a trouvée au bord de la mort et l'a amenée ici pour qu'elle s'y fasse soigner. On lui a alors injecté un liquide qui lui a permit de réveiller les dons qu'elle possède depuis sa naissance. Son premier don, la transformation sensorielle lui permet de se régénérer et de copier l'apparence de n'importe quelle personne. Grâce à ça, Éva a échappé à une mort certaine, de plus, lors de sa première régénération, son physique a été naturellement modifié et son second don lui permet de maîtriser chaque état de l'eau. Ayant trouvé sa place auprès de Shawn et des autres détenteurs de dons, elle est enfin heureuse... Mais pour combien de temps ? Ses personnes aux dons extraordinaires ne veulent pas toutes le bien, une secte de détenteurs de dons obscure dirigée par un homme du nom de Snake souhaite anéantir tous les humains normaux de cette planète. Hors de question pour les détenteurs bienveillants qui protégeront à tout prix la population ! Éva, Shawn et leurs amis doivent devenir forts pour réussir à les vaincre... Ils doivent devenir des Tilés.

     

                               ღMargotteLaMarmotteღ

                                          onion qui fait au-revoir avec sa main


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